Des patrouilles françaises et maliennes sont entrées ce matin dans la ville de Gao, liberée hier, et la population de la ville les accueuilli chaleureusement.
Le 9 mai 1815, il part pour la Jamaïque où il vit misérablement quelques temps, puis, il s'exile en Haïti où il est accueilli chaleureusement par le président Pétion.