Le preneur d'otages, un jeune homme de 17 ans présenté comme dépressif, a été neutralisé par un tir de pistolet à impulsions électriques, selon Jacques Grosperrin, député (UMP) du Doubs.
Sa politique de bouclages militaires, de couvre-feux et de restrictions perpétue la dislocation permanente de la vie quotidienne, les problèmes économiques, la perte de liberté et la démoralisation accrue du peuple palestinien.
L’heure arrivait, il cédait son appareil à un autre et rentrait dans l’atmosphère viciée du bord, toujours calme, sans une défaillance, sans un murmure.
À cette époque de la vie, on a déjà été atteint plusieurs fois par l’amour ; il n’évolue plus seul suivant ses propres lois inconnues et fatales, devant notre cœur étonné et passif.