Une telle démarche pourrait être particulièrement utile pour déployer l'ensemble des capacités d'intervention permettant d'éviter ou d'atténuer une catastrophe humanitaire.
L'Organisation universelle sera le point focal indispensable où construire le partenariat contre le fléau, ainsi que pour l'action contre les racines de la haine.
Espérons que la coopération internationale permettra au monde de se relever des dévastations causées par ces engins et mettra fin aux hostilités qui les perpétuent.
Le 18 janvier, le Président nigérian Olusegun Obasanjo, qui assurait alors la présidence de l'Union africaine, s'est rendu à Abidjan pour aider à désamorcer la situation.
L'éducation et la formation en matière de désarmement et de non-prolifération peuvent avoir une incidence notable sur l'atténuation de ces dangers propres aux périodes d'après conflit.
Nous avons bien l'intention d'y participer activement en vue d'adopter des engagements et des objectifs concrets qui contribuent à réduire la fracture numérique entre les pays.
Nous espérons que le projet « One Laptop Per Child » (Un portable par enfant) permettra de combler le fossé qui sépare les pays développés des pays en développement.
Les autorités locales ont fait observer qu'il fallait renforcer les capacités des administrations locales, afin d'assurer les conditions nécessaires à la décentralisation et à l'éradication de la pauvreté.
L'Union africaine, par la voix du Président Mbeki, a assumé la tâche de régler la crise de confiance entre les deux parties et de relancer le processus de paix.
Les efforts que nous entreprenons au niveau régional ont pour but de bâtir un pont entre les différences culturelles et religieuses et de faire obstacle à la propagation de l'extrémisme.
Qui plus est, nous avons confiance qu'elle peut redevenir un lieu par excellence où sont trouvées des solutions qui répondent aux préoccupations de la communauté internationale et dissipent ses inquiétudes.
La communauté internationale a notamment la responsabilité d'élaborer des stratégies de nature à prévenir leurs effets destructeurs ainsi que les déplacements internes et les mouvements de réfugiés qui en résultent.
Aussi bien le Gouvernement burundais que le FNL doivent être encouragés à aplanir les divergences politiques qui les séparent encore, de sorte que le processus de paix puisse être lancé.
Le Département des situations exceptionnelles met en oeuvre des mesures de protection civile, organise des opérations de sauvetage et d'autres actions urgentes visant à mettre fin aux conséquences d'actes terroristes.
Nous réaffirmons aussi la nécessité de combler la fracture numérique et de lever tous les obstacles qui empêchent les pays en développement d'avoir accès aux technologies modernes et d'être présents dans le secteur du cybercommerce.