Singapour est un petit pays dont la contribution ne peut être qu'une goutte dans l'océan de l'aide que la communauté internationale doit apporter aux pays touchés.
Une goutte d'or noir à l'échelle des réserves chinoises (1% des réserves pétrolières et 7% des réserves gazières de la Cnooc), mais une manne substantielle par rapport à celle des réserves japonaises.
Je dois me hâter de dire qu'il s'agit tout simplement d'une goutte d'eau dans l'océan et que la participation de la femme exige que celle-ci devienne un acteur important dans notre société.
Si tel est le cas, l'objectif de notre réforme est-il de réduire encore cette goutte? Ou voulons-nous rendre cette goutte un peu plus grosse, compte tenu des exigences croissantes auxquelles est confrontée l'ONU?