M. Barak ne s'est pas retiré d'un centimètre de notre territoire, mis à part les zones dont son prédécesseur, M. Netanyahou, avait accepté de se retirer.
Tout ce qui apparaîtrait, converti en or de bon aloi, devait être versé sur ses comptes à l'étranger jusqu'à ce que, sur cette terre inclémente, il ne leur restât pas même un pouce de terre où mourir.