L'interruption de la réintégration des combattants démobilisés et la poursuite du harcèlement de la population par les FARDC sont également préoccupantes.
Au contraire, les forces gouvernementales se sont toujours efforcées d'éviter les descentes civiles; elles se sont aussi souvent abstenues de se lancer dans des opérations qui pourraient les provoquer.
La rébellion et les actes d'intimidation régulièrement perpétrés par des unités des FARDC ont amené 50 000 personnes à partir vers le Kanyabayonga et ont gravement entamé la crédibilité des FARDC auprès de la population civile.