Il s'inquiète des informations selon lesquelles les personnes expulsées de leur logement n'obtiennent généralement pas une indemnisation adéquate, ni un autre logement.
Toutefois, il revient sur l'accord suivant lequel les personnes déplacées ne seront pas contraintes de retourner chez elles ou de s'installer ailleurs.
Une délégation s'est interrogée sur l'opportunité de mentionner un droit à la vérité en cas d'actes de disparitions forcées commis par des acteurs non étatiques.
Il est au courant des informations persistantes indiquant que les personnes expulsées de leur logement généralement n'obtiennent pas une indemnisation adéquate ou un autre logement.
Des partenariats étroits avec les ONG internationales et locales restent essentiels pour veiller à prendre en charge les besoins fondamentaux des personnes forcées de se déplacer.
Il constate de nouveau avec inquiétude que le rapport de l'État partie ne contient pas de statistiques sur le nombre d'expulsions forcées et l'ampleur du problème des sans-abri.
Les États prennent des mesures pour veiller à ce que nul ne soit soumis à des expulsions forcées, que ce soit par des acteurs étatiques ou non étatiques.
Il était convaincu que la Colombie n'épargnerait aucun effort pour protéger et garantir les droits des victimes des déplacements forcés, en particulier ceux des femmes et des enfants.
– Il coche toutes les cases psychologiques, c'est-à-dire qu'il y a des psychologues qui vont l'interroger pour essayer de faire son profil psychologique.