Outre les habitudes alimentaires, plusieurs facteurs parasites influent, chez les animaux sauvages, sur le profil des congénères, qui varie d'une espèce à l'autre.
Les différences qui existent entre les isomères et entre les modes de débromation observés introduisent des incertitudes supplémentaires lors de l'analyse des données de terrain.
Dans des conditions favorables, il est susceptible de subir une dégradation biologique mais est, de fait, le plus récalcitrant de tous les isomères du HCH.
Comme le bêta-HCH n'est pas tellement abondant dans l'environnement abiotique de l'Arctique, il n'a pas été aussi bien étudié que les autres isomères du HCH.
Le lindane étant le seul isomère du mélange qui possède des propriétés insecticides, les autres isomères obtenus ont une valeur commerciale extrêmement limitée voire nulle.
Au nombre de tels facteurs, on cite les différences interspécifiques dans l'assimilation, la métabolisation et l'élimination des isomères, même lorsque ceux-ci possèdent le même degré de bromation.
En raison de ses caractéristiques de danger et de son omniprésence, le HCH technique (dont l'alpha-hexachlorocyclohexane est le principal constituant) fait l'objet de réglementations et interdictions nationales et internationales.
Outre le comportement alimentaire, d'autres facteurs favorisants sont liés aux différences spécifiques observées parmi les espèces dans le schéma de distribution des isomères de PBDE dans la faune sauvage.
Les données de laboratoire et de terrain, y compris celles obtenues lors d'une étude à long terme des sols, laissent entendre qu'il est persistant dans le sol, surtout aux basses températures.
Ces facteurs comprennent notamment les caractéristiques propres à chaque espèce en ce qui concerne l'assimilation, le métabolisme et la dépuration des différents isomères, même lorsque le degré de bromation est identique.
Le HCH technique, un mélange de cinq isomères stables du HCH qui contient de 5 à 14 % de bêta-HCH, a été largement utilisé dans le monde entier en tant que pesticide organochloré.
Les informations demeurent limitées, mais il semble que l'assimilation et le métabolisme de chaque isomère varient de façon considérable non seulement selon les espèces, mais aussi en fonction de la dose administrée.
On possède peu d'informations sur l'étendue de sa présence dans l'environnement abiotique de l'Arctique, en partie parce qu'on l'y trouve à des concentrations moins importantes que celles des autres isomères du HCH.
Une liste de 10 métiers aurait été beaucoup plus pertinente que 9 pages de métiers complètement hétéroclites qui n'ont pas de rapport les uns avec les autres.