Le Comité est préoccupé par les mesures de licenciement à grande échelle prises ces dernières années, qui ont touché les femmes de façon disproportionnée.
L'autre tendance, provenant principalement de pays européens, est d'utiliser le droit pénal existant afin de criminaliser les mutilations génitales féminines ainsi que d'autres pratiques traditionnelles néfastes.
Le rapport indique que c'est chez les femmes que le taux de pauvreté est le plus élevé, en particulier les femmes célibataires qui sont chefs de famille.
La stagnation économique qui en résulte fait que près de la moitié de la population se trouve désormais au-dessous du seuil de pauvreté, en particulier à Gaza.
Le problème se posait avec plus d'acuité encore pour les Roms, les Ashkalis et d'autres minorités, qui avaient du mal à fournir la preuve de leurs origines.