Ces deux traités marqueraient une progression appréciable, car ils imposeraient des limitations qualitatives et quantitatives à une nouvelle expansion des arsenaux nucléaires.
L'aide internationale accordée au Timor-Leste doit être axée sur l'autonomie, mais elle ne devrait pas être limitée ou restreinte de manière arbitraire.
Seule l'ONU définit de manière limitative les munitions classiques et les sous-munitions qui explosent après dispersion ou libération à partir d'une munition mère.
L'une et l'autre peuvent être compromis par des conditions de vie difficiles, la négligence, l'indifférence, les mauvais traitements et des possibilités limitées d'épanouissement.
Pour des raisons de politique interne, ces règles peuvent imposer des contraintes strictes, plus strictes que celles du droit international des conflits armés.