Le rapport propose de mettre en place des mesures de dissuasion et d'incitation énergiques afin de modifier les schémas actuels d'exploitation illégale.
La question des mesures, positives ou négatives, propres à inciter les directeurs de programmes à réaliser des gains d'efficacité doit également être posée.
En outre, les politiques et mesures d'adaptation et d'atténuation, notamment les diverses formes de mesures incitatives et dissuasives, doivent viser le développement durable.
D'autres en revanche étaient d'avis que l'établissement d'un tel lien était incompatible avec la Charte et affaiblirait le caractère dissuasif de l'Article 194.
De même, la politique de récompenses et de sanctions, conforme aux principaux objectifs en vigueur dans d'autres organisations régionales et internationales, n'a pas été appliquée.
On note également un recours croissant, quoique encore modeste, à des mesures incitatives, telles que des amendes pour non-conformité et des garanties de bonne exécution.
Un système d'incitation et de dissuasion reste à créer, et il faudrait s'en occuper d'urgence, afin de l'intégrer dans le système de gestion des ressources humaines.
Il faut ensuite mettre au point des arrangements contractuels qui favorisent une amélioration des performances et cadrent avec le mode de gestion orienté vers les résultats.
Pour y remédier, il convient d'instituer un système de gestion rigoureux, assorti d'incitations et de sanctions qui encouragent les fonctionnaires à travailler de façon plus professionnelle.
Pour résoudre le problème des groupes armés étrangers, la communauté internationale a pris plusieurs mesures politiques, militaires, socioéconomiques et judiciaires importantes à effet incitatif ou dissuasif.
Si elle ne s'accompagne pas d'incitations, de sanctions et de récompenses sous-jacentes, la gestion axée sur les résultats n'est qu'une corvée et une source supplémentaire de paperasserie.
Il a également réaffirmé qu'il fallait bien préciser la filière hiérarchique et les responsabilités de chacun et demander la création d'un système d'incitations et de sanctions bien défini.
À l'heure actuelle, la perte du droit de vote en application de l'Article 19 est la seule mesure qui puisse influer sur le comportement des membres de l'ONU redevables d'arriérés.
Le représentant d'une organisation non gouvernementale a proposé que l'on garantisse aux pêcheurs des droits d'accès s'ils s'engagent de leur côté à respecter les règles fondées sur les droits d'usage.