Mon grand-père racontait ainsi notre promenade à ma tante Léonie, soit pour la distraire, soit qu’on n’eût pas perdu tout espoir d’arriver à la faire sortir.
" J'espère que ce geste vous aura réchauffé le cœur, illuminé votre visage... ...et vous permettra de ne jamais perdre espoir" . Malorie, 16 ans de Charleroi.
Comme si cette grande colère m'avait purgé du mal, vidé d'espoir, devant cette nuit chargée de signes et d'étoiles, je m'ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde.