Il entraîne dans cette guerre son fils, auquel il a entre-temps donné le titre de prince de Galles, fondant ainsi la tradition qui s'est perpétuée jusqu'à nos jours.
C'était l'oraison funèbre d'un ami et client, et malgré lui l'avocat ressentait une grande appréhension de voir le nom d'un autre entraîné dans le tourbillon de ce scandale.