Après les bombardements des villes de Hiroshima et Nagasaki, plusieurs millions de Sud-Africains ont milité en faveur de l'élimination totale des armes nucléaires.
Toutefois, pendant son séjour au Libéria, plusieurs autres Sud-Africains étaient également présents sur le territoire libérien, notamment Meno Uys, Gert Keelder et Faber Oosthuyzen.
En Afrique du Sud, les groupes désignés sont les Noirs (Africains), les personnes dites de «couleur» et les Sud-Africains d'origine indienne, les femmes et les personnes handicapées.
Aussi, notre gouvernement pense qu'il est essentiel que tous les Sud-Africains exercent un contrôle sur ce programme d'action et coopèrent à sa mise en œuvre.
De nombreux Zimbabwéens sont partis en Afrique du Sud où ils ont demandé l'asile, ce qui leur permettait de demeurer légalement dans le pays et d'y travailler.
À cet égard, nous devons dire clairement qu'en tant que Sud-Africains, nous sommes des partenaires et des activistes qui défendent une Organisation des Nations Unies puissante et efficace.
Dans cette optique, il a invité le médiateur sud-africain, les membres de l'Initiative régionale pour la paix et les différents partenaires à intervenir pour soutenir l'application de l'Accord.
Les Sud-Africains, pour leur part, font bénéficier leurs homologues iraquiens de leur expérience en matière de règlement des conflits et de réconciliation nationale par le biais du Processus d'Helsinki II.
Il avait fait une forte impression sur ceux d'entre nous en Afrique qui, du fait de notre lutte pour l'indépendance, admirons et respectons ceux qui ont mené des luttes similaires.