Beaucoup exhibaient dans leur nudité des stigmates du passé : cicatrices de coups de couteau au ventre, éclats de balles, zébrures d'estafilades amoureuses, coutures de césariennes de bouchers.
S'il est fait prisonnier ou s'il commet une faute impardonnable, la seule porte de sortie honorable est le seppuku, un suicide rituel durant lequel le samouraï s'éventre avec un sabre avant d'être décapité.