Par opposition à ces processus, il y a au Kosovo très peu d'éléments sur lesquels on puisse s'appuyer s'agissant des plans et des préparatifs précédents.
Autrement, le monde glisserait dans l'anarchie et le non-respect de la loi si l'on essayait d'imposer l'ordre en ayant recours à la force sous couvert d'intervention humanitaire et de souveraineté limitée.