Le CICR a également pu rendre visite à 19 combattants érythréens détenus en tant que prisonniers par les autorités djiboutiennes depuis les affrontements.
Le Gouvernement crée une base de données sur les services administratifs et l'armée, tout en formulant une procédure type de traitement des enfants prisonniers.
Malgré les garanties données au médiateur, le FLN n'a pas participé à la première réunion, exigeant que le Gouvernement commence par libérer les prisonniers.