Cette possibilité, qui exige l'adaptation des espaces communs aux besoins de la population, repose sur le principe de la conception universelle, le seul qui tienne compte des différences anthropométriques et sensorielles entre les gens.
Bertillon a également systématisé l'anthropométrie des suspects, c'est-à-dire prendre les mesures de leurs corps (le tour de tête, la hauteur du front, la longueur du pied etc.) pour pouvoir les identifier en cas de récidive.