La capacité d'initiative des dirigeants a été indispensable tant au début que pendant le processus d'expansion de ce secteur à une plus grande échelle.
Les ressources extérieures ont joué un rôle important dans l'expérimentation, puis dans l'accroissement du rayon d'action et le renforcement institutionnel de l'industrie du microfinancement.
La pauvreté des économies africaines en «capital information» coûte cher en provoquant le gaspillage des ressources et en limitant le champ d'action du secteur financier.
Seulement 2 % environ des 10 à 15 000 opérations et institutions de microfinancement à l'échelle mondiale sont considérés comme opérant de manière professionnelle et totalement viable.
Les services financiers sont visés aux besoins financiers des clients individuels en offrant des services tels que les dépôts d'épargne, le crédit bancaire et les cartes bancaires.
Pour que l'industrie du microcrédit se développe sur une échelle sensiblement plus grande, les établissements commerciaux doivent assumer de manière croissante la plus grande partie du financement.
Les services de la banque repose sur des produits de crédit, et fournit aux clients un service financier personnalisé et novateurs ainsi que des solutions de financement et de comptabilité.
On a cependant souligné la nécessité de contrôler et de réglementer le Hawala vu qu'il risquait d'être exploité à des fins frauduleuses par des blanchisseurs et des financiers de terroristes.
Le succès de l'industrie du microfinancement au Bangladesh tient en partie à l'équilibre que le gouvernement a su trouver pour réglementer et superviser les activités de microfinancement des organisations non gouvernementales.
Or malgré les exigences des ménages qui demandent des instruments d'épargne adéquats et les besoins de crédit des entreprises, le secteur financier en Afrique est médiocre pour ce qui est de l'intermédiation.
Les traders des grandes banques, c'est à dire les personnes spécialisées dans les opérations financières, surveillent de près les marchés en vue d'un possible Brexit.
Maintenant, il dit qu'il est dans la finance, il spécule, et puis il a une formation de juriste aussi, alors Libellule se confie, lui parle d'argent, lui demande des conseils.
Et donc, c'est une question de réputation et de sanctions pour justement essayer que d'une part les agences de notation le fassent mieux et que la finance se régule aussi par elle-même.
Ensuite, faire payer à la finance et au CAC 40 la part qui lui revient maintenant pour relancer l'emploi et augmenter les salaires, parce qu'ils ont assez pris, le moment est venu, de donner.