Aucun incident majeur n'avait troublé le bon déroulement des opérations électorales et les candidats non retenus pour le second tour semblaient accepter le verdict des urnes.
Le maintien de Jean-Marie Le Pen au second tour de scrutin, en ballottage avec le président sortant Jacques Chirac, a provoqué une onde de choc dans le pays.
À chaque fois qu'un candidat d'extrême droite arrive au 2nd tour de l'élection présidentielle, des Français se transforment en castors pour lui faire barrage.
Aucun des 550 candidats investis par le parti n'est qualifié pour le 2e tour, pas même l'ancien LR, pourtant député sortant du Loir-et-Cher, G.Peltier.
Parmi eux, 2 d'entre eux sont potentiellement au 2e tour, M.Le Pen et J.-L.Mélenchon. Ils seront interrogé sur leur programme et leur campagne, ce qu'ils ont réussi et raté.
Chacun des trois candidats a une raison bien spécifique pour faire campagne jusqu’au bout : Dilma Rousseff veut passer au 2nd tour avec le plus d’écart possible face à son rival, que ce soit Marina Silva ou Aecio Neves.