Ce privilège, accordé dans le cadre de la politique d'immigration d'Israël, ressort exclusivement des affaires intérieures et de la souveraineté de l'État.
Cette réforme doit reposer sur l'hypothèse que l'appartenance à cet organe s'accompagne non seulement de privilèges, mais aussi et surtout de responsabilités accrues.
Un souci d'importance majeure tient à ce que le fait de se prévaloir des privilèges accordés par le droit international humanitaire ne soit pas qualifié d'acte terroriste.
Ce privilège, accordé dans le cadre de la politique d'Israël en matière d'immigration, est de toute évidence une question interne relevant du pouvoir discrétionnaire de l'État souverain.
Exerçant sa prérogative constitutionnelle, le Président Préval a fait part de ces objections dans une lettre adressée au Parlement dans laquelle il a également proposé des modifications précises.
Selon ces informations, cette nouvelle loi faisait une distinction entre sept confessions traditionnelles et toutes les autres et accordait des privilèges et des droits différents à chaque catégorie.
Il semble justifié d'attendre des pays qui jouissent d'importants privilèges en vertu de la Charte qu'ils donnent une orientation non pas vers l'impasse mais vers une réforme authentique.
La réforme du Conseil de sécurité doit reposer sur l'hypothèse que le fait d'être membre du Conseil non seulement confère des privilèges supplémentaires mais s'accompagne également de nouvelles responsabilités.
Cependant, il est essentiel de faire la preuve du respect à un régime de traité si l'on veut bénéficier pleinement des droits et privilèges conférés par les instruments juridiques pertinents.