Quiconque enfreindra ces dispositions sera passible d'une peine maximale de trois ans d'emprisonnement assortis de travaux forcés ou d'une amende maximale de 50 000 yen.
Ces victimes participent à l'entretien des sanctuaires et procèdent aux libations pendant les prières, tandis que d'autres sont soumis à l'exploitation sexuelle et au travail forcé.