La proposition africaine d'un élargissement équitable de la composition de cet organe constitue une quête fondamentale, à laquelle ne sauraient se substituer de simples palliatifs.
Sans véritable réconciliation, des mesures, telles que le désarmement et la démobilisation des milices, ne serait qu'un palliatif qui soignerait les symptômes mais non la maladie.
Cette politique du rafistolage coûte des vies et, en fin de compte, coûte très cher à la communauté internationale en termes moraux et en termes financiers.