Mais mes rêves se peuplaient du ces villes fantômes, de ces courses sanglantes dont je croyais encore entendre les mille clameurs, de ces oriflammes déployées que le vent de la mer lacérait.
Il s'agit peut-être de la figure : on roule le gateau préparé dans la farine de soja, cela rappelle un ane qui fait un tour sur la terre en soulevant la poussière.
Il y eu dans mon imagination un coin bleu,dans la prose de ma vie d'enfant battu la poésie des rêves,et mon coeur mit à la voile pour les pays où l'on souffre,où l'on travaille,mais où l'on est libre.