Les efforts accomplis pour restructurer l'architecture financière internationale en réponse aux changements profonds de l'économie mondiale sont insuffisants.
L'incapacité à parvenir à un accord sur le désarmement et la non-prolifération dans le document final est révélatrice des différences qui séparent les États Membres.
Sept ans après le début du XXIe siècle, restructurer l'architecture financière internationale conformément aux changements importants survenus dans l'économie mondiale, demeure une tâche importante, bien qu'inachevée.
Les progrès impressionnants qui ont été réalisés par les pays d'Asie du Sud-Est dans la réduction des cultures illicites de pavot à opium doivent être consolidés.
La souffrance si expressive dépeinte dans la fresque représentant la guerre nous rappelle que l'ONU a la responsabilité fondamentale de contenir le risque d'un conflit armé.
Le Groupe prévoit que certains des changements profonds dans un grand nombre des systèmes naturels de la Terre auront des conséquences directes ou indirectes sur la sécurité.
Au cours du processus, sa politique de croissance associée à des capitaux propres s'est traduite par une baisse des taux de pauvreté et une amélioration des indicateurs sociaux.
Il a estimé que «ce qui s'était passé dans les faits, quoi que ce fût», entre l'auteur et les enfants «avait des répercussions durables et marquées sur ces derniers».
Leur appui renforcera les efforts de la Commission de consolidation de la paix et lui permettra d'accorder une attention pleine et entière aux graves problèmes d'après-conflit dont elle est saisie.
Au cours de ses cinq années d'exécution, le projet a obtenu d'importants résultats et les initiatives des gouvernements locaux, de plusieurs secteurs et de la population concernée ont été impressionnantes.