La première page n'est pas datée, mais nous avons de bonnes raisons pour penser qu'elle est antérieure de quelques semaines au début du journal proprement dit.
Des images non datées sur lesquelles l'otage lisait un texte en anglais et appelait les gouvernements français et nigérian à ouvrir des négociations avec Ansaru en vue de sa libération...
La vidéo de 24 minutes qui n'est ni datée ni localisée est entrecoupée d'images d'actualité afin de démontrer notamment les intérêts économiques de la France en Afrique. Et sous entendre que cela peut être autant de cibles.