Une main-d'œuvre féminine abondante contribue directement aux industries orientées vers l'exportation, telles que la confection, le thé et le poisson congelé.
Pour ce qui est du traitement des fibres, l'Organisation a entrepris de nombreux projets, particulièrement dans les secteurs du textile et de l'habillement.
Dans l'industrie du textile et de l'habillement, où les barrières à la sortie sont généralement faibles, la production a chuté jusqu'à 50 % dans certains pays.
Les mesures protectionnistes et les obstacles persistants dans les domaines prioritaires pour les pays en développement, comme l'agriculture, le textile et l'habillement, devraient être démantelés.
Avec le concours de l'Organisation internationale du Travail (OIT) et de l'UNICEF, l'industrie du vêtement procède actuellement avec succès à l'élimination progressive du travail des enfants.
Les femmes jouent un rôle prédominant dans l'industrie la plus importante du pays, l'habillement, où elles travaillaient dans des conditions réglementées et touchent un salaire décent.
Grâce à la création d'emplois dans le secteur des textiles et de l'habillement, bon nombre d'individus et de ménages ont trouvé un moyen sûr d'accroître leurs revenus.
Les pouvoirs publics ont apporté une contribution de 800 000 dollars et l'ONUDI une contribution de 100 000 dollars (pour l'assistance technique) en vue d'accroître la compétitivité du secteur de l'habillement.
Le secteur du vêtement a été le plus touché par l'interdiction d'importation et le Gouvernement a été incapable ou peu désireux d'aider les commerces affectés ou leurs employés.
Dans la grande majorité, ce sont des petites entreprises, dans le secteur de la construction, du commerce, surtout l'habillement, ou encore dans l'industrie.
Voilà tous les éléments majeurs de la société mésopotamienne : l'importance de l'acte sexuel et de la prostitution sacrée, de l'agriculture, de l'habillement et de l'hygiène.