Souvent, les mesures et les politiques gouvernementales qui paraissent protéger les femmes sont en fait rétrogrades et même dangereuses pour leur santé.
La Convention exige des États parties qu'ils prennent des mesures efficaces en vue d'abolir les pratiques sociales préjudiciables à la santé des enfants.
Il considère donc qu'elles représentent une surveillance et une évaluation raisonnables des dommages causés à l'environnement et une surveillance raisonnable de la santé publique.
Cette loi répressive n'a servi qu'à fomenter l'avortement clandestin, généralement pratiqué dans des conditions très risquées pour la santé et la vie des femmes.
Risques de préjudices à la santé (par exemple, en étant soumis à des contraintes physiques ou mentales élevées ou en étant exposé à des substances dangereuses).
Le Premier ministre a également exhorté à élever la qualité de vie afin d'apporter les bénéfices de la réforme au peuple et d'éviter l'apparition fréquente d'incidents nuisant au bien-être psychologique de la société.