On a de plus en plus recours à des euphémismes et des arguties juridiques pour justifier la torture, les mesures arbitraires et les détentions extrajudiciaires.
Je relève en particulier les traitements souvent entachés d'abus dont les migrants font l'objet dans le cadre des programmes appelés par euphémisme programmes pour « travailleurs hôtes ».
Elle condamne l'euphémisme employé par les donateurs internationaux qui se réfèrent aux prostituées comme à des « travailleurs du sexe », alors que ce sont réellement des esclaves.