Je marchai en tâtonnant. Après cinq pas, je rencontrai une muraille de fer, faite de tôles boulonnées. Puis, me retournant, je heurtai une table de bois, près de laquelle étaient rangés plusieurs escabeaux.
Eh bien ! non ! Le dos noirâtre qui me supportait était lisse, poli, non imbriqué. Il rendait au choc une sonorité métallique, et, si incroyable que cela fût, il semblait que, dis-je, il était fait de plaques boulonnées.
Donc, il y a eu tout l'apprentissage de la comédie. Ce que j'aime bien, dans le travail de clown, c'est que c'est quelque chose de très précis, très mécanique, très boulonné, et ça repose vraiment sur le travail.