La pneumonie, la diarrhée, le paludisme et l'infection au VIH demeurent la cause première des décès d'enfants, en particulier en Afrique subsaharienne.
Les taux de diarrhée et d'infections des voies respiratoires supérieures étaient anormalement élevés, et étaient à l'origine de 17 % des décès d'enfants.
Le fait que le choléra et les maladies diarrhéiques aient été effectivement enrayés dans les centres d'hébergement a prouvé l'intérêt de l'action menée.
Faute de nourriture, d'un approvisionnement en eau suffisant et d'installations d'assainissement, des maladies contagieuses comme la diarrhée et le choléra se sont déclarées.
Il a été constaté que les enfants mouraient de diarrhée et que leur système de défense immunitaire était faible, en raison essentiellement de la malnutrition.
Outre les conditions du voyage, les maladies comme la dysenterie, la fièvre jaune, le malaria ou le scorbut ainsi que les mauvais traitements expliquent ce chiffre.
En plus, l'eau contaminée et le manque d’assainissement entraînent la transmission de maladies comme le choléra, la diarrhée, la dysenterie, l’hépatite A, la typhoïde ou la poliomyélite.
Il fut démontré que l'un d'eux souffrait de dysenterie commune mais l'autre, une petite fille de cinq ans, semblait en effet avoir été victime de la maladie.
Le capitaine l'avait souvent fait à cause des nombreux cas de choléra qui se présentaient aux abords du fleuve, bien que par la suite les autorités sanitaires eussent obligé les médecins à signer des certificats de dysenterie.