Un chiffre résume la volonté des organisateurs de Paris 2024 : 95% des lieux de compétition sont des sites déjà existants ou seront des infrastructures temporaires.
S’il avait eu l’air de ne pas entendre, dans le temps, c’était apparemment qu’il n’aimait pas les potins. Chacun connaît son chez soi et se gratte où ça le démange.