Selon le Koweït, l'Iraq a construit un réseau de plus de 750 kilomètres d'oléoducs pour amener du pétrole des champs pétrolifères koweïtiens jusqu'aux tranchées.
L'Iraq soutient que «les tranchées ne présentent aucun risque de contamination pour la végétation ou la santé de l'homme car elles sont recouvertes de sable».
Les commandants locaux ont signalé que l'incendie avait atteint leurs positions et ont fait état de dégâts occasionnés dans les tranchées et les forts.
Le Comité estime toutefois que le Koweït n'a pas fourni d'éléments de preuve suffisants pour établir l'existence de la tranchée côtière sur l'île de Boubiyan.
Ailleurs, le Comité juge que la régénération naturelle de l'environnement dans les zones où ont été creusées des tranchées a des chances de se poursuivre.