Le travail des répétitions, notre tête-à-tête sous les feux de la rampe,resserrèrent encore nos liens ; on nous appela désormais : « les deux inséparables » .
Les embarcations pendant cette navigation firent un rude service. Les marins ne s’en plaignirent pas. Presque toujours Glenarvan, son inséparable Paganel et le jeune Robert les accompagnaient.
Gabriel, au contraire, ne doutait pas de la réalité du colonel Aureliano Buendia, pour la bonne raison qu'il avait été le compagnon d'armes et l'inséparable ami de son propre arrière-grand-père, le colonel Gerineldo Marquez.