Le principal objectif du projet consiste à permettre au BILTEN d'acquérir les connaissances et l'expertise nécessaires pour fabriquer des petits satellites.
Les programmes de petits satellites actuellement mis en œuvre dans des pays en développement pourraient fortement intéresser les établissements d'enseignement supérieur.
Pour enrichir encore son expérience en la matière et renforcer l'infrastructure, TUBITAK-BILTEN a lancé un deuxième projet de petits satellites (RASAT).
Actuellement, on s'efforce de mettre au point un petit système de filin électrodynamique en vue de démonstrations sur orbite à l'aide d'un petit satellite.
Une autre composante importante de ce projet concerne la construction et l'installation d'équipements pour la conception, l'intégration, l'essai et la fabrication de petits satellites.
Le principal objectif consiste à acquérir les connaissances et l'expertise nécessaires pour permettre au BILTEN de devenir le premier fabricant turc de petits satellites.
L'Atelier a clairement démontré quelles sont les immenses retombées que l'on peut attendre de l'introduction d'activités spatiales dans le cadre de programmes de petits satellites.
Un programme de petits satellites axé sur les applications de la télédétection pouvait aboutir à l'utilisation des données spatiales pour une prise de décision avisée.
Les résultats obtenus lors d'une des expériences exécutées à bord de FaSat Bravo avaient prouvé que les petits satellites pouvaient fournir des données scientifiques précieuses.
Les participants à l'atelier ont recommandé d'envisager le recours à des nanosatellites à faible coût pour lancer des projets spatiaux dans les pays en développement.
Il a été souligné dans les exposés que des résultats concrets avaient déjà démontré que les petits satellites pouvaient permettre de résoudre efficacement des problèmes régionaux.
Plusieurs expériences ont été menées en orbite, portant notamment sur les radiations ambiantes et la robustesse de certains matériaux. Un satellite qu’il portait à bord a été déployé.
L'impact sera suivi en direct par des observatoires terrestres mais aussi par un petit satellite italien, LICIAcube, qui se détachera de la sonde Dart quelques minutes avant l'impact.
La nouveauté ici consiste à transmettre les données via une constellation de petits satellites placés en orbite très près de la Terre, moins de 8000 km au dessus de nos têtes.