L'expérience H-Reflex (pour réflexe Hoffman) vise à identifier les exercices essentiels pour les astronautes durant leurs séjours prolongés dans l'espace.
Ces renseignements portaient sur les caractéristiques opérationnelles de ces avions, notamment celles relatives à la possibilité de larguer des corps en vol.
L'industrie spatiale utilise de plus en plus des structures alvéolaires composées de plastique renforcé de fibres de carbone dans les missions satellites.
La définition proposée est acceptable en ce qui concerne les objets capables de voyager dans l'espace extra-atmosphérique et de se déplacer dans l'espace aérien.
Un véhicule aérospatial voyageant dans l'espace aérien puis dans l'espace extra-atmosphérique doit tenir dûment compte des principes fondamentaux de ces deux branches du droit.
Le Leduc 021 (1955) en vol, un des premiers avions sans hélice.... Le saut technologique effaçait les performances passées. La cabine vitrée monoplace, à l'avant, est détachable.
Dans un autre cas, deux avions à réaction israéliens sont passés à moins de deux milles marins d'un navire français faisant partie du Groupe intérimaire d'intervention navale.
À ce jour, les sources d'énergie nucléaires ont été utilisées pour effectuer diverses missions, sous forme soit de générateurs thermiques ou électriques à radio-isotopes soit de réacteurs nucléaires.
Cette déclaration révélait que des efforts avaient été réalisés par le passé pour associer un programme de véhicules téléguidés à des dispositifs de dispersion d'agents de guerre biologique.
Cette qualification est retenue pour les infractions commises à bord d'un aéronef en vol hors du territoire néo-zélandais qui seraient punissables si elles étaient commises en territoire néo-zélandais.
On peut considérer que les objets aérospatiaux relèvent soit du droit spatial international soit du droit aérien international pendant toute la durée de leur mission selon la finalité de celle-ci.
Elle définit en outre un avion comme un aéronef motorisé à voilure fixe plus lourd que l'air dont la sustentation en vol est assurée par la réaction dynamique de l'air sur les ailes.
Le BSCI a constaté que dans 60 % des cas environ, il s'agissait de vols spéciaux de transport de fret, ou de vols organisés pour faire face à des besoins urgents ou transporter des personnalités.