Lorsqu'un animal est ainsi pris au piège, il se noie ou ne peut plus se nourrir ou éviter les prédateurs, ou il se blesse au contact de déchets tranchants.
Et, redoublant de précaution, suivi de ses compagnons, il se glissa silencieusement à travers les grandes herbes. Le silence n'était plus interrompu que par le murmure du vent dans les branches.
Puis, brusquement, sans le moindre avertissement, une voix très différente de celles qu'ils avaient entendues s'élever dans les bois déchira le silence.