Dans l'océan d'un football business mondialisé, sans scrupules et souvent sectaire, le club, dont l'emblème est une tête de mort, est un bateau pirate.
Cette jeune génération d’Irakiennes a connu l’invasion américaine de 2003, le sang des guerres confessionnelles et le groupe État islamique sur son sol.
La violence demeure courante en Irak malgré une baisse importante observée depuis 2006-2007, alors que le pays était engouffré dans des conflits sectaires.