La proposition concernant le recalcul annuel devrait être étudiée avec prudence, car elle réduira probablement la prévisibilité et entraînera des dépenses administratives supplémentaires inutiles.
Le Gouvernement malais n'est pas en faveur d'un recalcul annuel du barème des quotes-parts; cela rendrait les contributions imprévisibles pour les États Membres et entraînerait des dépenses supplémentaires au titre des examens techniques.