Le film, pas désagréable du tout ressemble a du théâtre filmé. Les portes claquent, tout y passe les cocus, les clichés des patrons et des syndicats aussi.
Au lendemain du passage de la flamme olympique dans la capitale, le premier avait titré «La claque» et le second, «JO: le fiasco de la flamme à Paris».
Au contraire, ils disent : “Il apparaît que les Iraquiens savent combien notre ami leur avait fait du tort, quelle pression il avait exercée sur eux et combien il les avait écrasés au point de les amener à lui donner cette claque”.