Le blanc commença à se dissiper. Une nouvelle fois, la croûte de quarante-cinq kilomètres d'épaisseur réaffirmait sa lourde présence : un temps sédimentaire.
Ce qu'on voit à ce niveau-là, c'est la limite entre la tourbe et l'argile, entre cette accumulation de matière végétale et ces sédiments d'origine marine.
Pour le savoir, une équipe américaine a daté les sédiments portant ces empreintes et les graines fossiles d’une plante aquatique, Ruppia cirrhosa, présentes sur place.
Le caisson hyperbare permet d'augmenter la concentration d'oxygène dans le sang et d'éliminer ainsi le monoxyde de carbone qui s'est fixé dans l'organisme.