Je pense que aujourd'hui, dans mon habillement, j'ai essayé d'effacer des endroits où je pouvais être reconnue comme une jeune femme un peu un peu femme.
–Sangloter comme une femme, ou comme une âme en peine, dit le maître d'hôtel ; je m'éloignai avec un tel poids sur le cœur que j'avais envie de pleurer aussi.
« Plus de cinquante ans ont passé mais on y est encore » a écrit Fang Fang mardi sur internet, cette femme ne recule pas comme un légionnaire à Camerone.
Sa petite taille lui permettait de se glisser partout, et ses bras avaient beau être fins et blancs comme ceux d’une femme, ils paraissaient en fer sous la peau délicate, tellement ils menaient rudement la besogne.
Au Petit Trianon, elle a recréé son monde bien à elle : ici, elle s’habille simplement, presque comme une femme normale et dans cet espace à taille humaine, elle n’accueille que ses proches, ses enfants, aucun courtisan.