La communauté internationale devrait envisager des mesures exceptionnelles pour permettre à ces pays de parvenir à un niveau d'endettement soutenable dans la durée.
Des mesures visant à garantir la viabilité à long terme de l'endettement des pays en développement devraient continuer de faire l'objet d'un examen sérieux et de mesures appropriées.
Ainsi la viabilité de l'endettement dans le long terme pourrait-elle finalement dépendre du comportement des prix pétroliers à l'avenir ainsi que des recettes provenant des produits de base.
Les émissions d'obligations par le secteur privé ont elles aussi augmenté rapidement ces dernières années, comptant actuellement pour plus de 20 % de la dette privée à long terme.
L'augmentation de l'endettement privé en Afrique subsaharienne, en Europe orientale et en Asie centrale a également contribué à faire progresser la dette à long terme dans ces régions.
La restructuration visait aussi à accroître la proportion du total du passif imputable à la dette à long terme et à la dette extérieure libellée en monnaie locale.
Il est en contact direct avec 65 pays à faible revenu ou à revenu intermédiaire, ce qui représente environ 40 % de la dette à long terme totale de l'ensemble des pays en développement.
Le défi fondamental à cet égard concerne la réalisation de l'objectif 8 de la Déclaration du Millénaire, relatif à la mise en place d'un partenariat mondial pour le développement.
Récemment, une enquête du New York Times a montré combien cette longue dette et toutes ses occupations étrangères ont été une catastrophe pour le pays, sur le plan économique et politique.