Des compagnies privées ou des propriétaires sont parfois accusés d'être responsables d'agressions ou de menaces contre des défenseurs des droits de l'homme autochtones.
Nombre de défenseurs qui œuvrent à promouvoir et protéger les droits liés au travail militent aussi dans des syndicats d'enseignants et de personnel universitaire.
Les violations de leurs droits semblent prendre toutes les formes que peuvent revêtir celles dont sont victimes les défenseurs des droits civils et politiques.
Les sept sous-sections ci-après ont trait aux activités des défenseurs des droits de l'homme dans des domaines donnés des droits économiques, sociaux et culturels.
Deuxièmement, les défenseurs des droits de l'homme qui militent dans des mouvements sociaux sont accusés d'«association de malfaiteurs» et autres charges du même type.
Les défenseurs des droits de l'homme autochtones sont exposés à de graves agressions et à des meurtres, en particulier dans certains pays d'Amérique latine et d'Asie.
La Représentante spéciale a adressé des communications concernant au moins 35 défenseurs des droits de l'homme qui auraient été tués pour cette raison depuis l'institution du mandat.
Depuis le début de son mandat, la Représentante spéciale a envoyé 24 dossiers concernant des défenseurs des droits de l'homme engagés dans le domaine du droit au logement.
La Représentante spéciale est intervenue dans au moins 12 cas où des défenseurs des droits de l'homme ont été tués parce qu'ils luttaient pour le droit au logement.
Des communications concernant des défenseurs des droits de l'homme actifs dans le domaine du droit à la santé ont été envoyées à des pays du monde entier.
Dans chaque section, les activités des défenseurs des droits de l'homme dans un domaine particulier sont analysées à travers des cas des violations de leurs droits dans ce domaine.
La Représentante spéciale a envoyé des communications concernant 12 cas de défenseurs des droits de l'homme militant en faveur de la promotion et de la protection du droit à l'éducation.
Incarcérés depuis le 18 septembre, les militants écologistes risquent quinze ans d'emprisonnement s'ils sont reconnus coupables des faits qui leur sont reprochés.
Les rassemblements restent interdits, la censure reste très forte, les convocations de militants, d’universitaires ou de journalistes à des séjours forcés dans les camps militaires continuent.
Plusieurs actions militantes ont eu lieu en ces jours de super soldes, symboles de la surconsommation mais qui répondent aussi à une demande en ces temps d'inflation.
Les autorités chinoises ont libéré trois féministes qui ont été arrêtées avec deux autres militantes à la veille de la Journée internationale de la femme du 8 mars.
Les six militants exécutés avaient été reconnus coupables d'avoir tué des militaires et brûlé des bâtiments de sécurité dans la péninsule du Sinaï, un procès connu sous le nom d'affaire des " Sharkas arabes" .
Donc c'est une technique qui est très usitée dans les pays de common law, mais qui tente à être de plus en plus utilisée en France et ça a suscité d'ailleurs des critiques du défenseur des droits.