Maints représentants de partis politiques ont tenu des propos racistes, xénophobes et spécifiquement antivietnamiens au cours de la campagne électorale.
Nonobstant l'exiguïté du territoire, la coexistence était une réalité et aucun acte xénophobe, ni aucune manifestation d'antagonisme n'avaient été constatés, allégués ou formulés.
Il s'agit d'une « mesure destinée à combattre la pauvreté et l'exclusion sociale », qui comporte également des programmes personnalisés et des compléments de revenu.
À l'heure actuelle, les populations émigrées venant de toutes les parties du monde, sont particulièrement exposées à l'exclusion sociale et à la xénophobie.
Il faudrait notamment appliquer des normes internationalement acceptables quant aux moyens de sanctionner l'incitation à la violence, à la haine et à la xénophobie.
Il a estimé que la migration était l'une des forces fondamentales génératrices de discrimination et des formes les plus extrêmes de racisme et xénophobie.
Les divers gouvernements ne proposent pas de formation concernant les droits des réfugiés et des demandeurs d'asile et ceux-ci continuent d'être victimes de xénophobie.
La diversité raciale et la double discrimination fondée sur la couleur de peau, l'exclusion sociale et économique qu'elles entraînent, posent un problème plus sérieux.