La situation financière de l'Institut, toutefois, reste précaire, ce qui limite sa capacité de fournir aux États africains des services efficaces et complets.
Il s'agit certes d'une reconnaissance importante des droits fonciers des autochtones mais la procédure d'enregistrement de ces titres collectifs reste longue et mal définie.
Le climat d'incertitude politique continue également d'empêcher la réalisation des objectifs de la résolution 1701 (2006) du Conseil de sécurité, y compris en matière de désarmement.