Les camps de déplacés sont dépourvus d'installations sanitaires et une odeur pestilentielle d'ordures et d'excréments humains plane dans l'air, toutes conditions propices à la propagation de maladies.
Rien ne les préparait à ce dont ils allaient être témoins, en ce lieu et dans les autres camps qu'ils allaient libérer. La puanteur des corps, les piles de vêtements, de dents, de chaussures d'enfants.