Dans les pays développés, il semble que la future demande de services de télécommunications, en particulier d'Internet à haut débit, ait été surévaluée.
Ses équipes de télécommunications gèrent les importantes capacités satellitaires à haut débit qui lui sont attribuées pour assurer des communications efficaces entre les missions.
Des équipes de communication spécialisées gèrent les importantes capacités satellitaires haut-débit qui lui sont attribuées, pour assurer des communications satellitaires efficaces entre les missions.
Cet écart immense empêche une répartition équitable de l'Internet et laisse de nombreux pays ou régions à la traîne dans l'économie mondiale de l'information.
Les communications par satellite avaient permis d'établir une connexion lorsqu'une largeur de bande plus importante était nécessaire ou lorsque les communications ordinaires étaient défaillantes.
Néanmoins, des problèmes de connectique, en particulier le manque de circuit à large bande passante, continuent d'entraver l'accès au système e-PAS dans certains lieux d'affectation.
À mesure que les besoins en matière de largeur de bande augmentaient, le coût du fonctionnement des stations terriennes augmentait en proportion, jusqu'à devenir prohibitif.
La pauvreté en largeur de bande internationale signifie non seulement que les prix sont élevés, mais aussi que l'utilisation de l'Internet risque d'être lente et restrictive.
Pour l'instant, c'est un système satellite qui permet à la Mission de rester en contact avec les différentes régions, où la bande passante et la connectabilité sont limitées.
La vitesse d'accès à Internet était toutefois lente car la majeure partie de la largeur de bande était attribuée au Mountain Forum installé dans les locaux de l'ICIMOD.