Je l’espère car je n’aimerais pas un sot. Allons, mangez vos perdrix, elles sont cuites à point ; et faute de pain, vous vous contenterez de châtaignes.
De sorte que maintenant, grâce à Dieu, nous ne manquons pas, comme monsieur peut s’en assurer, de perdrix et de lapins, de carpes et d’anguilles, tous aliments légers et sains, convenables pour des malades.