Le plus souvent l'examen sera entrepris pour incompétence, vices de procédure et erreurs de droit, motifs fallacieux, erreurs d'appréciation manifestes, et erreurs de fait.
On a par ailleurs souligné qu'il ne conviendrait pas d'habiliter la Cour d'appel des Nations Unies à examiner les erreurs concernant des faits matériels.
Malheureusement, le rapport final contient encore un certain nombre de graves erreurs factuelles, des informations non corroborées, des contradictions et des déformations manifestes de la réalité.
Toute décision définitive (jugement, décision consécutive à une demande de renvoi devant une juridiction nationale, etc.) sera aussi susceptible d'appel pour erreur de droit ou de fait.
Dans un communiqué, elles écrivent que l'enquête en cours pourrait contribuer à ce que les autorités qui ont fourni une version erronée des faits commencent à rendre des comptes.